Notre société n’est pas organisée en fonction des valeurs décrites ci-dessus. L’enseignement formate, la recherche du profit est érigée en Graal, les individus ne sont plus respectés, notre société devient inégalitaire, déshumanisée, désorganisée, etc.. (54 tems !)

Les richesses (23 items) sont mal réparties. Les richesses produites le sont au profit de quelques-uns et non au profit de la collectivité qui produit. L’enseignement, la culture, la solidarité envers les plus démunis ou les « non-productifs » en sont affectés...Cela engendre une incohérence entre l’idéal ou l’objectif de société et la réalité.

La façon de gérer la collectivité est également pointée du doigt. Les personnes choisies pour gérer la collectivité ne sont pas souvent à la hauteur des attentes. Les Particip’Acteurs sont révoltés par le manque d’éthique, par le non-respect des engagements, des lois/décrets, par l’abus de pouvoir, par l’impunité en cas de fautes, par le fait que les responsables politiques soient dans le déni des réalités et agissent dans leur propre intérêt ou dans celui de leur parti plutôt que dans l’intérêt de la collectivité.

La façon de choisir les personnes responsables de la collectivité est donc remise en cause.

Au-delà des personnes, les Particip’Acteurs constatent des problèmes structurels ou organisationnels dans la gestion du collectif. Un manque de clarté dans la mission des élus, des organisations incohérentes, rendant la gouvernance statique, difficile, lourde même pour les plus compétents et les plus motivés.